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SUD Lycéen - Millau |
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D’un côté, les profiteurs, une poignée, résolus à augmenter leurs profits coûte que coûte. De l’autre, les travailleurs, les étudiants et les lycéens, prêts à tout pour arracher quelques lambeaux de vie meilleure. Si t’es spectateur, bon match. Mais si tu penses faire partie de l’un de ces deux camps, ce combat, c’est le tien.




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Mobilisations 2009-2010 |
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Jeudi 27 Mai 2010 à 14:00 à Rodez
L'intersyndicale departementale a decidé pour la journée du 27 mai
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D’organiser des barrages filtrants à partir de 13h30 sur les giratoires des Moutiers et de la Gineste.
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D’appeler à un rassemblement à 14h30 au bas de l’avenue de Bordeaux (prés d’EDF)
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D’un parcours de manif Av. de Bordeaux, rue Béteille et Place d’Armes.
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D’une prise de parole par orga (4 à 5 min) vers 15h30 Place d’Armes, lieu de la dislocation de la manifestation.
1er Mai : Mobilisons-nous !
Manifestation du 1er Mai : rendez-vous à 11h, place du Mandarous à Millau.
No Sarkozy Day le 27 mars et le 8 mai !
Mobilisation de janvier 2010 :
Jeudi 21 Janvier 2010, on était plus de 500 à manifester à Rodez !!
Tract de SUD Lycéen Aveyron : tractcontentdetreaulycee
Nouvelle réforme du lycée : un coup de poignard pour les lycéens
POUR UNE VRAIE RÉFORME DU LYCÉE
Projectiles pour un autre lycée ...
LE 10 et 15 DECEMBRE, TOUS EN LUTTE !
Depuis plusieurs semaines, un mouvement pour la défense de l'Éducation s'organise partout en France et dans le monde. Ce mouvement commence aujourd'hui à prendre de l'ampleur puisque les manifestations sont maintenant quotidiennes, au niveau international ce sont plus de 100 facs qui sont actuellement occupées et plusieurs centaines de milliers de jeunes qui sont descendus dans la rue le 17 novembre.
Nous dénonçons la privatisation rampante de l'école qui se matérialise par des conditions d'étude qui se dégradent de plus en plus, le désengagement massif de l'État dans les établissements, des réformes qui n'apportent rien à l'éducation.
Aujourd'hui, un seul constat, le néo-libéralisme impose une marchandisation des savoirs et de la culture, l'école est en danger !
La casse de l'éducation est un phénomène aujourd'hui croissant, tant en France que partout ailleurs en Europe. Alors qu'un mouvement international de la jeunesse se dessine (facs occupées et manifestations partout dans le monde), l'État français doit prendre ses responsabilités s'il veut éviter l'embrasement. Il doit reconnaître l'éducation comme le pilier de notre société, et clairement réinvestir dans l'école et dans sa jeunesse, aujourd'hui précarisée, stigmatisée, sacrifiée ?
La libéralisation de l'éducation, et donc, la marchandisation du savoir, nous apparaît comme le chemin le plus dangereux qui puisse être emprunté.
Plus que l'Éducation, c'est l'ensemble des services publiques et acquis sociaux qui sont menacés. La marchandisation du savoir s'inscrit dans une politique libérale qui veut imposer la privatisation de tout ! La société du tout payant se généralise, celle de l'individualisme ainsi que la mise en concurrence des travailleurs. La jeunesse ne veut pas de cette société là ! Elle revendique une société plus juste et plus solidaire.
En ce sens, le Front de Lutte pour l'Éducation composé de près de 38 organisations et syndicats appelle l'école à entrer en Résistance le 10 et 15 décembre ! Il appelle les lycéens, étudiants, profs, parents d'élèves à organiser des manifestations, sit-in, blocages, occupations, partout en France le jeudi 10 décembre et mardi 15 décembre. La convergence des luttes est quand à elle indispensable si nous voulons faire aboutir les revendications ! Nous appelons donc tous les secteurs en lutte à nous rejoindre le 10, jour qui doit être l'amorce d'un mouvement massif et unitaire !
Combien nous sommes, combien sont ils ? Nous sommes le peuples, nous sommes l'avenir !
L'École entre en Résistance le 10 et 15 décembre !
Education : grève mardi 24 novembre 2009 !
Des syndicats de la Fédération CNT des Travailleurs de l’Education (FTE) s'associent à l’appel à la grève du 24 mais ne se leurrent pas.
La seule riposte, la grève, qui a du sens, c’est celle qui se fixe des objectifs précis et se poursuit par reconduction jusqu’à les avoir atteints. Dans les AG, tâchons de contaminer écoles et bahuts par le virus de cette grève combattive bien plus virulente que la traditionnelle grève saisonnière épisodique !
Cela concerne aussi le syndicalisme dans son ensemble, tant il est majoritairement englué depuis des années dans ses dérives : co-gestion, concentration sur les situations locales et les cas individuels , permanents déconnectés du travail et frein à l’action des personnels quand elle déborde leurs directives ...
Les fortes mobilisations interprofessionnelles de 2009 et les mouvements sectoriels qui s’enchainent cet automne prouvent qu’une riposte d’ampleur est possible.
Il apparait donc urgent de forger une alternative syndicale combattive et autogérée, actrice des luttes !
Construisons-la ensemble dès le 24 pour que l’on ait toujours raison de se syndiquer ! Attrapons le bon virus : celui de la grève !
Quel bilan pour la rentrée 2009 ?
En juin dernier, il nous a fallu tirer le bilan d’une année de luttes. Une année où des individu-e-s de divers horizons se sont organisés, ont créé des outils pour combattre ensemble la suractivité gouvernementale en matière de casse du service publique et de destruction des emplois, des droits du travail et des droits sociaux.
Faisant fi de toutes les résistances avec un mépris affiché pour tous les avis divergents, le ministère de l’éducation nationale persiste et signe dans un document de rentrée et anticipe sur un avenir radieux où par exemple grâce à l’Aide personnalisée les RASED n’auront plus lieu d’être. Au-delà des constats établis ce sont donc bien de nouvelles attaques qui transparaissent dans ce texte comme par exemple le recours aux heures supplémentaires déguisées en stage de remise à niveau. Ces mêmes heures supplémentaires qui dans le second degré sont monnaie courante et qui nous laissent deviner la recette que le gouvernement veut appliquer : plus d’heures supplémentaires, moins de recrutement et de création de postes, 16 000 suppressions de postes pour l’année prochaine pour obtenir - sous couvert d’adaptabilité - une précarité toujours plus grande... Il y a quelques temps cette précarité paraissait bien loin de nous (et pourtant si proche déjà). Qui n’a pas croisé une EVS, une AVS, un vacataire (et bientôt un remplaçant tout droit venu de l’ANPE) dans son établissement ? Cette précarité que beaucoup acceptent comme un sacrifice à la bonne marche de l’école et au bien être des élèves commence toutefois à effrayer lorsqu’elle prend la forme d’une loi visant à casser le statut des fonctionnaires titulaires de l’éducation.
Dans cette logique, pourquoi s’arrêter à la défense de notre métier d’enseignant lorsque l’on sait que cette précarisation touche également les autres secteurs. Certains se sont risqués à défendre leurs usines. Les moyens de défenses appliqués ont été divers : de la grèves à la séquestration du DRH. Malheureusement dans chaque cas, les luttes restent circonscrites à un lieu, à une entreprise. Dernier exemple avec la lutte des travailleurs sans papiers. Quels travailleurs ont un statut plus précaires que ceux-ci cumulant l’illégalité dans la vie quotidienne à celle dans le travail. Quand certains d’entre eux se révoltent, l’affaire est étouffée par les médias afin de ne pas amplifier la lutte.
Les patrons (ceux du secteur privé aussi bien que l’État) auraient-ils peur de la propagation (plus dangereuse pour eux que celle de la grippe A) de la colère des salariés ? Si chacun prend en considération non seulement les attaques faites contre lui mais aussi celles faites aux personnes qui travaillent à ses côtés, il est possible de créer un rapport de force. La grève peut permettre de tisser des liens entre salariés. Partons des collectifs professionnels existants pour nous retrouver en Assemblées générales interprofessionnelles et posons les bases de ce rapport de force.
Face aux nouvelles attaques et à tout ce qui a été mis en place ces dernières années, imposons nos visions de l’école et de la société.
C’est parce que nous pensons que la grève nous donne un espace de discussion indispensable pour s’organiser que la CNT éduc appelle à la journée de grève du 24 novembre.
Source : http://www.cnt-f.org/fte/article.php3?id_article=2745
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SUD Lycéen débarque à millau, CA DECOIFFE !!! |
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